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Mes premiers souvenirs avec la photo, c’était l’appareil de mon arrière-grand-père, un kodak Ektra 200, un objet du turfu super compact et simple d’utilisation. J’ai niqué une pellicule avec, je me souviens encore de l’avoinée !

Il y avait l’Olympus de mes parents, fidèle ami des vacances qui pesait à peu près 4 kilos mais qui est aujourd’hui à l’origine des dizaines de boîtes à chaussures remplies de photos chez mes parents. Impossible de remettre la main dessus au moment où je veux le récupérer.

Un cadeau d’anniversaire : un Izone. C’était le premier retour du polaroid, précurseur de l’instax. Je retrouve encore aujourd’hui près de 18 ans plus tard (ouch) ces mini-photos de mes animaux de compagnie.

Puis un jour mon père m’offre le graal : son appareil photo. Un vieux Petri de 1984, lourd comme pas possible mais qui fait des images somptueuses. C’est avec cet appareil que j’ai commencé à apprendre la photo. En tâtonnant et surtout, périodiquement. Il a été mon fidèle compagnon avec d’avoir la chance de me faire offrir par mon bien-aimé mon premier appareil photo, celui qui me sert aujourd’hui d’outil de travail.

L’argentique et moi, c’est donc une love-story de toujours. Aujourd’hui encore je prends beaucoup de photos en argentique et je privilégie l’architecture, la symétrie, les jeux d’ombre et de lumière. Ci-dessous, je vous montre un aperçu que j’espère, vous apprécierez :

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